Sans contrefaçon, je suis un garçon ! Dans l'Italie de la Renaissance, Bianca, demoiselle de bonne famille, est en âge de se marier. Ses parents lui trouvent un fiancé à leur goût : Giovanni, un riche marchand, jeune et plaisant. Le mariage semble devoir se dérouler sous les meilleurs auspices même si Bianca ne peut cacher sa déception de devoir épouser un homme dont elle ignore tout. Mais c'était sans connaître le secret détenu et légué par les femmes de sa famille depuis des générations : une « peau d'homme » ! En la revêtant, Bianca devient Lorenzo et bénéficie de tous les attributs d'un jeune homme à la beauté stupéfiante. Elle peut désormais visiter incognito le monde des hommes et apprendre à connaître son fiancé dans son milieu naturel. Mais dans sa peau d'homme, Bianca s'affranchit des limites imposées aux femmes et découvre l'amour et la sexualité. La morale de la Renaissance agit alors en miroir de celle de notre siècle et pose plusieurs questions : pourquoi les femmes devraient-elles avoir une sexualité différente de celle des hommes ? Pourquoi leur plaisir et leur liberté devraient-ils faire l'objet de mépris et de coercition ? Comment enfin la morale peut-elle être l'instrument d'une domination à la fois sévère et inconsciente ? À travers une fable enlevée et subtile comme une comédie de Billy Wilder, Hubert et Zanzim questionnent avec brio notre rapport au genre et à la sexualité... mais pas que. En mêlant ainsi la religion et le sexe, la morale et l'humour, la noblesse et le franc-parler, Peau d'homme nous invite tant à la libération des mœurs qu'à la quête folle et ardente de l'amour.
Hubert Boulard de son vrai nom ; il naît à Saint Renan, Finistère, en 1971. À l’origine, il ne se destine pas à la Bande dessinée, mais aux Arts plastiques. Il entre aux Beaux-Arts, d’abord à Quimper, puis à Angers. C’est là qu’a lieu une rencontre déterminante : Yoann (Toto l’Ornithorynque, La Voleuse du Père Fauteuil...), qui se destine déjà à être auteur et est publié en Angleterre. C’est lui qui fait (re)découvrir la bande dessinée à Hubert et ce qui s’y passe alors, tant aux États-Unis (Miller, Sankievitz, Mac Kean, Mignola ...) qu’en France (Barbier, David B., Trondheim...). En 1994, Hubert passe son diplôme de fin d’étude avec des installations tendance conceptuelle. Une fois sorti, il se pose l’inévitable question : « Et maintenant ?» d’autant plus qu’il se sent de moins en moins attiré par le milieu de l’Art Contemporain et de plus en plus par l’écriture. Après un bref passage dans le graphisme, il commence à travailler comme coloriste (Ninie Rezergoude avec Yoann et Omond, éditions Delcourt en 1999). De nombreuses collaborations suivront (notamment avec Paul Gillon, Jason, David B, Tronchet, Philippe Berthet, Vink…). Il est actuellement le coloriste de la série Spirou, avec Yoann et Fabien Vehlmann. Parallèlement, en 2000, il signe ses premiers projets en tant que scénariste : Le Legs de l’Alchimiste avec Hervé Tanquerelle, paru chez Glénat (qui passe le relais à Benjamin Bachelier au tome 4) et Les Yeux verts avec Zanzim au dessin, aux éditions Carabas. En 2006, Hubert ait son entrée chez chez Poisson Pilote avec La Sirène des Pompiers, dessinée par Zanzim et Miss Pas Touche, réalisé avec les Kerascoët. Suivront en 2010 Bestioles, avec Ohm chez Dargaud, La Chair de l’araignée avec Marie Caillou chez Glénat et en 2011 Beauté avec les Kerascoët chez Dupuis. Hubert vit et travaille à Paris.
Edit : je mets toujours du temps à capter ce qui me met mal à l’aise. J’ai dormi dessus et.
- d’où ça sort que les femmes ont besoin de se mettre dans la peau d’hommes pour les comprendre (et pourquoi pas l’inverse omg) - c’est quoi cette vision de l’homosexualité à base de « les femmes sont gardées derrière des murs alors bon voilà » - excellent la fin en forme de retour au statu quo pour toutes les femmes sauf l’héroïne qui a la chance d’avoir un mari homo qui va pas la forcer à coucher avec lui - help
This entire review has been hidden because of spoilers.
Ci sono libri che non vanno solo letti, vanno DIVULGATI. In questo particolare momento storico, con una spada di Damocle vera e propria a minacciare le nostre conquiste sociali - ottenute dopo tanti anni di lotte di classe e di sofferenza - io vi invito, no... vi SPINGO a reperire e leggere Pelle d'Uomo di Hubert/Zanzim (e se non vi piacciono i disegni, FATEVELI PIACERE, perché sono perfetti per la storia: rimandano alle illustrazioni medievali quanto basta per fare il verso all'epoca, ma con una chiave espressiva unica e capace di esprimere tutto in pochissimi tratti) Questo libro ha inoltre una protagonista femminile tra le migliori di cui abbia mai letto, una ragazza che di eccezionale ha solo tre cose, IL DESIDERIO DI COMPRENDERE, il CORAGGIO DI EMPATIZZARE, L'ONESTÀ VERSO SE STESSA E VERSO GLI ALTRI. Il tutto è assolutamente naturale e mai forzato. Bianca non diventa improvvisamente coraggiosa e ribelle, ha sempre desiderato dire la sua e piano piano, vestendo la "pelle di Lorenzo" acquista il coraggio e l'indipendenza necessaria ad esserlo, e non avrebbe potuto farlo prima perchè cresciuta in un contesto che reprime certi comportamenti nelle donne mentre li trova normali negli uomini, ma nel momento in cui si sperimenta la libertà d'azione, che tu sia donna o uomo, non vuoi più lasciarla andare. L'innamoramento tra lei/Lorenzo e Giovanni è talmente naturale che era quasi scontato, ma è straziante al contrario il distacco di lui nei confronti di Bianca/donna: le emozioni sono gestite in maniera magistrale, i disegni nonostante la semplicità, sanno essere fortemente espressivi. Abbiamo bisogno di moltissimi libri così, abbiamo bisogno di leggerli e imparare da essi.
Me habían advertido de que me iba a encantar este cómic, ¡pero no sabía hasta qué punto!
En una ciudad italiana en pleno Renacimiento, una joven está a punto de ser casada. Y justo en ese momento, una tía suya le desvela un secreto de las mujeres de esa familia: en un baúl guardan una piel de hombre que, al enfundársela, te permite hacerte pasar por varón y darte un paseo por el mundo para ver cómo se vive en él siendo del sexo opuesto. La joven la usa para conocer mejor a su prometido y saber qué hace cuando este está solo... sin imaginarse que su futuro esposo se enamorará perdidamente de su versión masculina y que eso trastocará el inminente matrimonio de ambos.
Toda la acción sucede, además, en una época en la que el fervor religioso se extiende por la ciudad y en la que un sacerdote, hermano de la protagonista, cada vez acumula más poder y lo usa para atacar a las mujeres y perseguir a las minorías. Como muchas de las mejores ficciones, este cómic es una fábula sobre el mundo real: sobre los peligros del puritanismo, sobre lo que hacen las religiones cuando el estado no es tajante con ellas... y también sobre la resistencia, sobre como la gente diferente y las minorías se aferran a su identidad a pesar de tenerlo todo en contra.
PIEL DE HOMBRE es una historia con cierto sabor a cuento clásico, pero con una aproximación actualísima a la historia que narra. Nos permite fantasear con esa idea tan antigua de «ponerse en la piel del otro» y retuerce ese cliché para hablarnos de lo indomable del deseo, de las sutilezas del amor, de rebeldía y de resistencia, de identidad y de roles, de matrimonio y libertad, de familia y ruptura. En definitiva, a mí me ha parecido una obra magistral, cien por cien recomendable, originalísima y única... y, por supuesto, tiene el sello de garantía de calidad «Carita de medalla».
Excelente! Apenas peca por, infelizmente, mostrar que vestidas de homem é que, naquele tempo, as mulheres (algumas) conseguiam ser livres. Retrata muito bem o fanatismo religioso e a liberdade que era dada aos homens e não às mulheres. Muito bom!
In un’ambientazione che ricalca l’oscura Firenze di Savonarola, Bianca deve sposare Giovanni, un uomo che oltre a non amare non conosce nemmeno. Eppure Bianca ha una grande opportunità, le donne della sua famiglia si tramandano da anni una pelle d’uomo, chiamata Lorenzo. Si profila quindi all’orizzonte, per Bianca, la possibilità di conoscere il suo fidanzato prima del matrimonio vestendo i panni di Lorenzo.
Pelle d’uomo è un graphic novel storico con tematiche LGBTQ+ assolutamente imperdibile a mio parere. Tratta la discriminazione di genere e di orientamento sessuale con una delicatezza e una leggerezza magistrale. Il disegno è un omaggio al corpo umano e alla nudità, mai volgare ma sempre naturale. Insomma un’ode all’amore in tutte le sue forme e a corpo e cuore che ci permettono di goderne. L’ho amato!
PT Este já estava no meu radar há bastante tempo, mas, por uma razão ou outra, acabava sempre relegado para segundo plano, como tantos outros. Desta vez, contudo, chegou finalmente a sua oportunidade!
E que oportunidade foi! Esta história superou por completo as minhas expectativas. Quando se tratam de "guerras dos sexos", receio sempre que o enredo descambe para os extremos, mas aqui nada disso acontece.
Muito pelo contrário: tudo é apresentado de forma equilibrada e sensata. A protagonista tem acesso a um artefacto mágico – a famosa *pele de homem* – que lhe permite compreender melhor o que é ser homem, ao mesmo tempo que descobre mais sobre o seu futuro marido.
Naturalmente, a trama vai muito além disso. Pelo caminho, somos brindados com inúmeras críticas sociais à forma como as mulheres foram tratadas ao longo da história, em claro contraste com os homens, que frequentemente escapavam impunes por atos pelos quais elas eram severamente castigadas.
Uma leitura tão divertida quanto educativa, cheia de elegância e subtileza. Adorei!
--
EN This had been on my radar for quite some time, but for one reason or another, it always ended up being pushed aside, like so many others. This time, however, it finally got its chance!
And what a chance it was! This story completely exceeded my expectations. When it comes to "battles of the sexes," I always fear the plot might veer into extremes, but that's not the case here at all.
On the contrary, everything is presented in a balanced and sensible way. The protagonist gains access to a magical artifact—the famous *skin of a man*—which allows her to better understand what it means to be a man while also getting to know her future husband more intimately.
Of course, the plot goes much deeper than that. Along the way, we are treated to numerous social critiques about how women have been treated throughout history, in stark contrast to men, who often got away with acts for which women were harshly punished.
A read that is as entertaining as it is educational, full of elegance and nuance. I loved it!
Incroyable histoire traitant de l’émancipation de la femme, de sexualité, de religion, d’orientation sexuelle et du poids de la société et des coutumes. Bianca revêt une peau d’homme transmise de génération en génération dans sa famille, afin d’apprendre à mieux connaître son futur époux. S’en suit de folles aventures qui la conduiront à se trouver elle même, à prendre la parole et à dire stop aux diktats qu’elle subit en tant que femme. J’ai adoré. Ça se lit comme un bon roman. Les dessins sont superbes et les messages passés si importants. A partager sans modération!
Damn. That was a fantastic story. All about complicated relationships, driven by social expectations and incongruity of wants and needs, with an ending that I think can be called happy.
It's a shame that we don't get to see Bianca reveal to her husband that she's really Lorenzo but that's not really the point of the story now, is it? In a way, it adds another interesting layer, though.
Como juntar homofobia, misoginia, fanatismo religioso, liberdade sexual e crítica social? Fácil, ao que parece. Basta pedir a Hubert e Zanzim para criarem uma BD. E o resultado é brilhante, leve, delicioso, erótico, divertido. Ambientado numa Itália renascentista, Pele de Homem, conta com uma heroína maravilhosa, que se rebela contra os poderes instalados e um sistema patriarcal que isola as mulheres dos homens, combina casamentos, decide moral, persegue faltas... Embora de caráter mais jocoso, é um livrinho precioso que extrapola sem cair no absurdo e, pelo menos no meu caso, deixa marca.
C'est une lecture plutôt plaisante et les dessins sont jolis. Mais plusieurs choses m'ont déplu. D'abord c'est vraiment un bouquin à ambition féministe mais écrit par des mecs, et ça se sent. Le début en mode "c'est pas facile d'être un garçon"... rohlala. Ça change un peu de ton après et il y a le discours sur la misogynie de l'Eglise mais ça fait porter toute cette responsabilité sur le dos d'une institution religieuse qui n'a plus la même force aujourd'hui, comme si ce n'était pas une question sociale, et que les gens redevenaient plus cools sans l'influence de l'Eglise... euh non ? On a juste une solution "idéale" individuelle pour l'héroïne et rien pour les autres. Le cliché de mettre ça à la Renaissance comme si la misogynie et l'homophobie étaient des choses du passé... au secours. Une belle excuse pour dessiner des pénis et des seins, boarf. Le cliché de la meuf féministe qui a eu de petites expériences olé olé pour devenir un meilleur coup car maintenant elle met des doigts dans le cul arf vraiment quoi. RIEN sur le genre. Je m'attendais au moins à un minimum de discours sur l'identité de genre ou l'orientation sexuelle. L'héroïne ne remet jamais ça en question. Même quand elle pénètre son gars déguisée en mec elle reste juste une chouineuse hétéro qui veut juste se faire aimer de son mari, ouin ouin. Comme l'a dit une autre lectrice, on n'écoute que Lorenzo et pas Bianca en matière de féminisme donc quel effet...? Et les mecs ne se révoltent que quand on touche à leurs prostituées. Et ça n'est jamais vraiment remis en question dans la BD. En bref, je m'y attendais mais bon. Disappointed but not surprised.
This entire review has been hidden because of spoilers.
Fascinating, heart-warming, and deep, very deep. I like.
This is a really insightful comic, featuring a young girl who is about to be wed to a man she doesn't know. As she'd like to know him better, her godmother gifts her the skin of a man - with it, she can get to know the man she is to wed in the guise of a man.
What follows is quite a fun, fascinating account of how the two become friends and what it's like for this woman to find herself suddenly in a man's world.
The concept is fantastic and the delivery even more so. There are a lot of things to unpack here but it's done really well, with no issue stealing the focus from another.
Artwork isn't the kind of style I'd normally go for, but it suited this story well so I didn't mind it at all. It's bold, colourful and easy to follow.
A really well done graphic novel, and one I'll easily recommend.
In Renaissance Italy, 18-year-old Bianca wishes she could first get to know the man to whom her parents have arranged her marriage. Her godmother has just the solution, a magical disguise that will make her appear as a man who can befriend the fiancé without all the scrutiny of parents and chaperones. As with most wishes, things do not go quite as Bianca imagined.
Things stay fairly light, humorous, erotic, and adventurous despite touching on heavy themes like religious fanaticism, women's rights, homophobia, sexism, and gender roles.
PASSADA COM ESSA LEITURA!!! Ja conhecia desde qndo foi lançada no Brasil mas eu achava que ela seria uma hq que iria apenas para um lado mais feminista. A premissa da mulher vestindo uma pele de homem e tal. E tem uma premissa feminista sim mas vai MUITO alem e foi pra caminhos que me surpreenderam real!!! AMEI MUITO
Je n'ai pas été sensible au dessin (les fonds/décors beige/gris je trouve ça déprimant) et encore moins au traitement du propos, tout va trop vite, ça nous parle d'une femme qui sait donner du plaisir aux hommes car elle a vécu dans une peau d'homme, par contre ça nous parle nulle part d'homme qui sait donner du plaisir aux femmes. Je pensais que le propos serait complètement autre, je m'attendais à quelque chose de fin, de réfléchi, de coup de poing vu toutes les critiques dithyrambiques, au final j'ai lu une BD qui parle beaucoup fesses et qui se termine, après tout un tas de circonvolutions, sur le couple libre comme solution. OK. Comme le souligne une autre lectrice, j'ai bien aimé la fin, mais pas du tout le chemin pris pour y arriver.
Un racconto così forte e al contempo delicato, che tratta con estrema semplicità (ma mai banale) dei temi attualissimi. Bianca è un personaggio meraviglioso, intelligente e soprattutto compassionevole. Non so se al suo posto avrei avuto il coraggio di comportarmi così.
Devo dire che il finale mi ha un po' spiazzato, avrei preferito che
Nella famiglia di Bianca, promessa sposa di un uomo che non conosce(fa parte di una famiglia nobile in quella che potrebbe essere l'Italia dei Medici, come periodo), le donne si tramandano una pelle d'uomo, che le trasforma, indossata, in esponenti dell'altro sesso in tutto e per tutto. Ok è un po' tirata per i capelli e molto fantasy sta cosa, ma facciamo finta. Con addosso questa pelle lei frequenta il suo promesso sposo che si innamora di (lei) lui, in quanto gay. Già le premesse del matrimonio non sono il massimo, ma vabbè. La tristezza dei matrimoni di facciata tanto per non dare scandalo, e l'omosessualità di gran parte dei maschi spiegata con una frasetta tipo "eh le donne sono sotto chiave e quindi ci arrangiamo fra di noi". Non so perché, ma la questione mi sembra un filo più complessa. Ma diciamo che sono altri tempi, forse funziona un po' come in prigione. Alla fine di questo volume, con dei disegni che non mi hanno entusiasmato, fra fratelli preti invasati e madri coi paraocchi, la situazione si "aggiusta" con una famiglia allargata, dove la bimba, generata dall'unico rapporto carnale tra gli sposi, viene cresciuta dai due, l'amante di lui e l'amante di lei, con il quale lei continua a fare crossdressing e ad andare in giro da maschio a divertirsi fra balli e osterie. Sono un po' confusa sul messaggio che il volume vuole veicolare.Noi donne possiamo essere libere solo vestite da uomini? È giusto mantenere una facciata(il matrimonio finto) per non far sparlare *la gente*? Il libro ha un finale che non ho trovato sereno o liberatorio ma anzi, un po' pesante, visto che per la felicità di tutti un pesante utilizzo di menzogne sembra essere indispensabile.
A woman in Ye Olde Italy is to be married-off by her parents. She would rather have a chance to get to know her husband before marriage. Shocking! Luckily, her family has passed down through the generations a man's skin that she can put on and pass for a man.
The story gets much more gay than I expected, which was nice. The man's skin really creeps me out, though. It just looks gross, and I'll bet it is uncomfortable. But somehow the trick works, even when she is having intimate moments. The text feels a little preachy at times, but still enjoyable.
J'ai aimé l'idée, l'univers, les thèmes évoqués (l'homosexualité, le féminisme). Mais j'ai été perturbée par la manière dont ces thèmes ont été amenés, j'en ai trouvé certains aspects un peu surfaits. Lecture mitigée donc.
Une très belle BD avec une intrigue prometteuse et originale. J’ai adoré suivre les aventures du personnage principal et cette notion de connaissance de son futur mari pour l’époque, en le découvrant dans son milieu.
Un peu dérangée par comment l’homosexualité y est traitée néanmoins 🤔
Nic dziwnego, że ten francuski komiks jest stale nagradzany. Męska skóra to spójny, bardzo świadomy, w swej koncepcji afirmacyjny i nawet transgresyjny utwór. Zarówno fabuła, jak i szata graficzna operują uproszczeniami i karykaturami, ale to koncept z zamianą tradycyjnych ról, komizmem, nutą feminizmu, satyrą i wątków nieheteronormatywnych, stanowi o sile tej opowieści. Warto!
Longtemps après l'engouement général pour cette BD, je l'ai enfin lue à mon tour, en ayant oublié un peu de quoi elle parlait, ce qui fait que je l'ai abordée avec un regard assez neuf.
J'ai d'abord un peu tiqué sur l'aspect graphique (que je trouve pas ouf) mais j'ai peu à peu été prise par cette histoire pleine de modernité et qui se joue pourtant à la Renaissance. C'était chouette de voir l'héroïne s'affirmer et entraîner dans son sillage toute sa ville dans une sorte de révolte à la répression religieuse... mais je n'en dis pas trop, pour ne pas vous gâcher le plaisir de découvrir l'intrigue à votre tour !
En revanche, j'ai tout de même quelques petits bémols à relever :
Bref, une fable queer et (plutôt) féministe, légère et un peu trop idéaliste dans son dénouement (et avec son lot de maladresses grossières relevées plus haut - c'est une BD féministe écrite par deux mecs quoi) mais prenante et malgré tout très chouette à lire.
Una storia importante, atipica, spiazzante in alcuni momenti, dove il puzzle dell’identità di genere e sessuale, della parità dei diritti e delle lotte per ottenerli si mescola in un modo che è tutto tranne che regolare, canonico e catalogabile, proprio come lo sono i sentimenti e le identità umane.
j’ai besoin de process ce qui m’a dérangé (sûrement la façon dont est représenté l’homosexualité), mais c’est une réflexion intéressante sur l’émancipation des femmes et une critique du fanatisme religieux
A primeira vez que ouvi falar do "Pele de Homem" foi na Noite da Literatura Europeia de 2022 em que este tinha sido escolhido como o livro francês.
A apresentação foi feita de forma criativa com projecções de imagens na parede e ficamos a conhecer a história de Bianca, a protagonista, que vivia na época do renascimento e tinha ficado noiva recentemente contra sua vontade. Mas Biança teve acesso a um fato especial que as mulheres da sua família também tiveram: uma pele de homem, e ao vesti-lo pode ir conhecer melhor o seu noivo nos ambientes que ele frequentava. O que ela não contava é que ele se viesse a apaixonar por Lorenzo, a figura de Bianca enquanto homem. E perante isto, qual a reacção de Bianca?
Esta novela gráfica tem uma mensagem poderosa relativamente à igualdade de género, à sexualidade, à identidade, ao fanatismo e preconceito religiosos entre outras temáticas.
Ana Cristina Santos escreve no prefácio: "Se a ideia de pele nos remete para superfície, para aquilo que é dimensão mais visível do corpo, o enfoque do livro é justamente tudo o que se afasta dessa superfície e nos remete para um espaço denso e extraordinariamente rico de procura, descoberta e intimidade."
"O que significa vestir a pele de outra pessoa?"
Em 2013, aquando das manifestações contra o casamento homossexual, Hubert falou com Zanzim e propôs-lhe fazerem um trabalho sobre ele, sobre a sua vida. Mas o projecto não avançou.
Meses depois, enviou-lhe "Pele de Homem" com a mesma temática mas com uma abordagem diferente. Desta vez Zanzim gostou bastante.
Foi também nessa apresentação, na Noite da Literatura Europeia, que fiquei a saber que Hubert se tinha suicidado a 12 de Fevereiro de 2020 com 49 anos. Em Junho desse ano o livro foi editado com enorme sucesso.